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Des plus hauts sommet à l’Empire du Milieu

J.41 à J.48

Bon finalement il y a toujours une solution. (voir article precedent)

Petite semaine à Katmandou

Lundi 14 novembre
Journée tranquille dans Katmandou, entre lessive (à la main et à l’ancienne comme toujours) et internet. 
Je loge juste à côté du Thamel qui est LE quartier touristique par excellence. 
La première fois que j’ai débarquer à Katmandou en arrivant des Indes, je me suis retrouver dans le Thamel et je me suis dit:
– Whaou !
Ouai, ouai j’ai dit whaou !
La différence avec les villes d’Indes et Katmandou était frappantes. Les rues étaient propres, les magasins organisés, bien éclairés et bien rangés tel que les « nôtres ». 
Mais c’est en fait parce que je me trouvai dans ce quartier bien spécial. 

Tout est bien indiqué:

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Les touristes y trouvent leurs bonheurs, et l’on s’y perd facilement tan les rues se ressemblent toutes. De partout les mêmes magasins de matériels pour le trek, de boutiques de bonnets et d’écharpes en Pachmina, des bars, des restaurants, des galeries d’arts, des magasins d’artisanat local, colliers, bracelets, masques en bois, vendeurs de drogues et tchoules ayant quitter le plateau du Larzac pour venir ici en pensant revivre la belles époques où les hippies étaient nombreux dans la capitale Népalaise. 
On trouve aussi énormément de boutiques de livres, dont beaucoup en Français, Allemand ou Japonais. Je ne sais pas pourquoi il y a autant de « Book Shop », mais j’imagine que c’est en partie du au fait qu’il n’y a rien à faire le soir en trek !
Le Thamel est plutôt calme la journée, mais en début de soirée lorsque les vacanciers reviennent de trek ou d’excursion, ils sont des milliers ( des grosses centaines en tout cas) à envahir le quartier.  Ce qui ne m’a pas empêcher de croiser par hasard, Régi et Lili, que j’ai connu lors de mon trek, et qui s’apprêtent à partir au Tibet. 

Une boutique de souvenirs:

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J’aime bien ce quartier. On s’y sent en vacances, j’aime bien me rendre le soir dans les bars où se produisent des groupes. 

Mais cette première image que j’ai eu de Katmandou était loin d’être la même dans toute la ville. Lorsque je me suis éloigné un peu du cœur touristique j’ai re découvert ce que j’avais pu observer en Inde. Des maisons délabrer, des routes défoncé, des déchets dans les rues et même certains endroits qui deviennent de mini décharges. 

Heureusement  ce n’est pas partout comme ca.

Un quartier avec peu de touristes. Magasins de vetements, sacs, chaussures:

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Un vendeur de fruits ambulant:

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Joueurs dans la rue:

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Dans le Thamel:

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Mardi 15 novembre

Visite de Durbar Square.

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C’est ce que l’on appel le centre monumental de Katmandou
A dix minutes à pied du Thamel on arrive au milieu de temples et de palais construits au fil des années par les différents rois et reines. 
300 roupies l’entrée et l’on peut y revenir durant tout le séjours après s’être fait officiellement tamponner le ticket d’entrée. 
Je n’ai pas vraiment appris l’histoire de ce lieux, j’y était plus pour découvrir l’architecture de ces temples et vivre l’ambiance de cet endroit. 

Des temples:

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Sulpture sur bois:

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Parking a Rick Shaw:

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Mercredi 16 novembre

Visite de Stupa Swayzmbunath
Aussi appelé le temple des singes, ce Stupa se situe sur une colline à 30 minutes de marche du Thamel. Il aurait était le premier Stupa édifié dans la région. 

 

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Le Stupa:

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Les yeux du Boudha:

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Sculpture sur Or:

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Des rouleaux a prieres:

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Une boutique a cote du Stupa:

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Marouset:

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Un singe sur le stupa:

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Jeudi 17 novembre 

Visite de Stupa Boudhnanath
En pleine ville cette énorme Stupa et un véritable lieux de culte pour les bouddhistes. Je ne sais pas si c’est comme ça tout les jours, mais lors de ma visite une centaines de fidèles étaient rassembler au pied du Stupa pour prier tous ensemble. 
Enfants, adultes, vieillards, hommes, femmes, tous rassemblés devant la photo de leur lama (je crois), avec devant eux ce qui avait l’air d’être des offrandes, ou des dons. 

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Les dons:

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En fin de journée je suis allé me faire couper les cheveux.  Il y a beaucoup de barbiers en ville. J’en ai choisi un au hasard, mais je n’y suis pas aller pour tout couper. Je vais me laisser pousser les cheveux, voir à quoi je ressemble,  et je couperai quand j’en aurai marre. 
C’était donc juste pour « nettoyer » la nuque et les pâtes. 
J’était assis dans un siège en bois à l’ancienne, et je m’attendait au pire.  Mais ça va finalement il a couper les pâtes comme je lui ai dit, la nuque, et n’a pas résister à donner quelques coup de ciseau à droite, à gauche pour le plaisir. 
Je l’ai arrêter alors qu’il s’apprêtai à me raser la barbe, mais n’ai pas pu l’empêcher de me faire un massage de la tête. Et je l’ai arrêter de nouveau avant qu’il attaquait un massage du dos. 
Non merci ça ira ! On avait dit la nuque et les favoris. 

Après avoir pendant plusieurs jours chercher un guide en Français pour la Chine dans les nombreux « Book Shop » du Thamel, j’ai enfin trouvé un guide du routard quasi neuf, édition 2009/2010 pour 6€ !
Je me sert du guide surtout pour les choses à voir et les conseils pour les bus et trains, ainsi que pour connaitre la façons de vivre dans le pays. 
A moins de ne pas avoir d’autre choix, j’évite d’aller dans les hôtels ou restos conseillés. Je préfère les trouver moi même. 

Vendredi 18 novembre

En me levant je me rend compte que les quelques coups de ciseau que le barbier à donné en plus, ont eu leur effet. Il a coupé quelques millimètres sur les cotés, mais en haut c’est comme avant. Ça me fait une tête à la Jacouille ! Espérons que ça repousse vite. 

Demain je change de pays !
Aujourd’hui j’essaie tant bien que mal de ranger mon sac. Le peut de souvenirs que j’ai acheter au Népal m’encombre et il va falloir que je fasse rapidement un colis pour envoyer tout ça en France. 
Ce n’est pas le poids en plus qui me gène, mais c’est la place perdu. Une fois arrivé à ma prochaine destination il faudra que je fasse un tri. J’hésite à me séparer de ma polaire dont je risque fort de ne plus avoir besoin au Vietnam, en Thaïlande ou en Indonésie…
Mais une fois en Amérique du sud elle pourra me servir de nouveau. On verra.

Oui je sais, en France c’est de nouveau la crise, y fait froid, on va perdre notre triple AAA que j’ai rien compris ce que c’etait, Geneviève de Fontenay nous casse les burnes avec son concours à la con et Renaud est de nouveau alcooliques et moi mon seul souci c’est de savoir ce que je vais faire de ma polaire…
Bé ouai ! Le reste je m’en fou, je suis en vacances !

Des vendeurs dans la rue:

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Samedi 19 novembre
 
Aujourd’hui c’est le départ pour la Chine. Ce n’est pas loin, mais le voyage sera long. 
Katmandou – Calcutta 1h20 de vol. 
Une fois à Calcutta, j’ai une escale de 9h30 !!!
Malgré le fait que je possède un Visa pour l’Inde, je ne pourrai pas sortir de l’aéroport. En effet le Visa est valable 6 mois, mais il faut attendre 2 mois entre chaque visites. Sachant que je suis sortie de l’Inde il y a 21 jours, il aurait fallu faire une demande spéciale pour y revenir plus tôt. 
D’une part je ne me suis pas aperçu en achetant le billet qu’il y avait une escale en Inde, et d’autre part je n’ai pas spécialement envie de sortir dans Calcutta avec mes sacs sans connaitre la ville et sans savoirs où je vais. 
J’attendrai donc patiemment. 

L’aéroport de Katmandou n’est pas vraiment moderne. De temps en temps il y a des coupures d’électricité ! Ça fait bizarre dans un aéroport de se retrouver dans le noir. 

Le départ est prévu à 16h05. Vu que l’on embarque à l’heure où l’on devrait décoller, forcément ça provoque un décalage. 
Finalement on décolle avec 1 heure de retard. Ça sera ça de moins a attendre à Calcutta
En arrivant je vais au bureau de change pour obtenir quelques roupies Indienne à la place de mes dernières roupies Népalaise. Mais ils ne reprennent pas l’argent Népalais !
Heeeuuuu ! Ah bon.

Je me souvient avoir lu quelque part qu’il était interdit de sortir de l’argent du pays… Mais je ne sais plus de quelle pays. Je ne sais plus si c’est d’Inde ou du Nepal
Bref, tan pis je vais changer quelques dollars pour pouvoir manger un morceau.  

Je doit me presenter 3 heures avant le depart. En attendant je doit patienter dans l’entree de l’aeroport.

Je patiente gentiment sur une chaise. Quatre heure assis, en ne pensant à rien et sans rien faire… comme quand j’était en cours quoi !
Puis vers 23h j’arrive à passer, bien que mon vol soit dans 3h40. Juste avant la dernière fouille j’achète une bouteille d’eau, que je n’ai bien sur pas le droit de faire passer. 
Mais je tombe sur un contrôleur intelligent, pour une fois, qui me demande de boire devant lui pour lui prouver que c’est de l’eau et non pas un produit explosif !
Au lieu de jeter et gâcher. 

Décollage à 2h30 du mat. 

Dimanche 20 novembre

L’arrivée en Chine

Avec le decalage horaire, 2 heures plus tard,soit a 7 heures, heure local, je pose le pied en Chine
Un fois que j’ai passé la douane et récupérer mon sac, il faut que je trouve un distributeur. Il me reste quelques roupies Népalaise et Indienne, mais le tout ne doit pas dépasser 5€. Je m’occuperai peut être de les changer plus tard. 
Je trouve donc un distributeur, sur lequel on peux heureusement choisir l’Anglais. J’espère que c’est comme ça partout.  Un premier retrait de 1600 Yuan (environ 190€ selon le taux actuel) et me voilà prêt à affronter la ville. 

Prochaine étape, prendre un taxi pour aller à la gare. Heureusement à l’aide des mots de bases indiqué dans le routard, j’ai pris quelques notes qui pourront m’aider… ou pas du tout. 
Je montre mon bout de papier où est écrit « Hùoché Zhan » ce qui signifie « gare » et je le prononce du mieux que je peux, mais la personne à qui je parle me fait comprendre qu’elle ne comprend pas et qu’elle ne lis pas cette écriture. 
Aucun souci, aussitôt je sort mon guide où les mots sont écrit avec notre alphabet et le leur. 
De suite il comprend et imite le train en faisant:
– « Tchou tchooouuu » !
Oui c’est ça. Je voudrais aller au tchou tchou. 
Et nous voilà parti pour la gare. 
Prix du taxi, 15 Yuan (1,75€). 

La gare de Kunming:

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Une fois à la gare je comprend que mon séjours en Chine risque de ne pas être facile. Plus aucun mot en Anglais. Tout est écrit dans leur alphabet. 
J’essaie donc de repérer un guichet pour acheter un billet de train pour me rendre à Chengdu plus au nord. 
En fait je suis venu à Kunming juste parce que le billet d’avion était moins cher si je venais ici. 
Et oui j’ai un budget à respecter. 
Mais ma première vrai étape en Chine sera Chengdu. Je vais y voir un ami avec qui je travaillai à Bora. Pendant qu’ils y en a qui voyage et qui foutent rien, lui fait carrière dans l’hôtellerie. 
Il bosse depuis plusieurs année en Chine et je suis bien content de le revoir, même si il me fatigue !

Mais à la gare, il y a des guichets dehors, des guichets dedans et je ne comprend pas si ils vendent tous les même tickets ou si certains sont spécifiques. 
Je décide donc de me poser un peu et de prendre un petit dej avant de me rendre à un guichet. 

Je vais dans une sorte de fast food où les plats sont en photo, ce qui m’a facilité la tache dans ma commande. 
Au petit dej ce matin: Canard laqué. 

Une fois, rassasié et mes notes de communication mises à jours, je retourne vers les guichets. Je montre d’abord le mots Chengdu, écrit en Chinois, à un employé devant la gare. Là il m’indique un guichet. Une fois devant la vendeuse, je lui dit la phrase que j’ai répéter plusieurs fois:

– Dancheng Piao Chengdu.

Ce qui veux dire, un aller simple pour Chengdu. 
Et là elle me répond:

– You want today ?

Elle a donc compris. Victoire is mine. Mais elle continue la conversation en Anglais. Dommage j’aurai aimer finir en Chinois. 
J’ai donc en poche un aller simple pour Chengdu, en couchette, 1100km et aucune idée de l’heure à laquelle je vais arriver. Je sais juste qu’il faut entre 18h et 24h de voyage. Mais l’heure d’arrivée n’est pas indiqué. 
Sur le billet figure la date de départ, l’heure, le prix et le numéro du train. C’est grâce à ce numéro que je trouverai le quai.
Il y a aussi ce qui doit être un numéro de wagon et un numéro de siège. J’ai le 16 et le 06. 

Ici la SNCF local ne plaisante pas. Elle embauche du monde pour tout. (en fait je me rendrai compte plus tard que ce ne sont pas les seuls)  
Déjà à la gare il y avait au moins 15 guichets, tous ouverts. Puis il y a des poinçonneurs qui perforent ton billet avant que tu n’aille sur les quais. Et une fois arrivé au train il y avait une personne à l’entrée de chaque wagon ! Plus d’autre sur les quais. Ça rigole pas. 
Plus tard pendant le trajet j’ai pu voir qu’il y avait au moins 2 employés par wagon durant tout le voyage. 

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Ne sachant pas à quoi correspondent mes deux numéros je m’arrête au wagon 6, mais le responsable me fait signe d’aller plus loin. Je suis donc au wagon 16, couchette 6. 
Ça change des trains en Inde. Ils sont bien entretenu, propres et il y a coussins et couvertures.
Une fois installer je m’endort rapidement, étant debout depuis prêt de 24h et n’ayant réussi qu’à dormir une demi heure dans l’avion, la fatigue se fait ressentir. 

 

Dans le train:

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De temps en temps je me réveil et profite du paysage. Au début ce sont des plaines, puis des petites montagnes avec des cultures sur plusieurs niveaux comme j’ai pu le voir au Népal. 

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Pendant ce temps les voyageurs discutent, jouent aux cartes, dorment…
Des vendeurs passent de temps en temps avec leurs chariots. Soit des fruits, soit des boissons, soit des repas chaud. Riz et légumes. 

Puis la nuit se passe, calmement et confortablement. 

Lundi 21 novembre

Nous arrivons à Chengdu à 7h20, soit 21 heure après être partis de Kunming. Franchement le voyage s’est bien passé. 

La gare de Chengdu:

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Devant la gare:

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Il est encore tôt et je ne veux pas appeler mon pote Benjamin, car c’est une petite nature et je ne voudrais pas le réveiller. 

Je mange un morceaux en attendant. 
Mais de toute façon pour l’appeler il faut d’abord que j’accède à son numéro qui se trouve dans mon portable. Malgré la qualité de service dans les trains et le confort, je reproche juste le fait de n’avoir pas trouver de prise pour recharger mon téléphone. 
Je n’ai donc plus de batterie et ne peux pas avoir le numéro. 

Ce n’est pas grave, j’ai son numéro dans un de mes mails, je vais aller dans un cyber pour avoir accès à ma boite.  
Leçon du jour, un cyber café se dit « Wangba ».
Je suis dans une zone très animé, et lorsque je demande « Wangba » au gens dans la rue, tous m’indique le même endroit. Le cyber se trouve à l’étage d’un petit centre commercial. 
En arrivant je découvre une énorme salle, avec une centaine d’ordinateurs. Jamais vu un cyber café aussi grand. 
Je m’approche de l’accueil où se trouve deux jeunes filles, auxquelles j’essaie de faire comprendre que je souhaite aller sur internet.
Une des deux me montre une feuille sur laquelle est écrit une phrase en Chinois. Il y a aussi un 10.
Je me dit qu’il doit falloir payer 10 Yuans. Je sort l’argent, mais la dame continue de me montrer la feuille tout en me faisant coucou avec la main et en me disant hello !
L’autre fille compte l’argent tout en parlant toute seule. 
Alors je sort une pièce d’identité, ce qui ne change rien, on me montre la feuille tout en me faisant coucou et en me disant « hello ». 
Bon, j’abandonne et je sort, mais deux jeunes arrivent et je les observes pour savoir ce qu’il faut faire. 
Les deux sortent une carte d’identité et de l’argent. 
Et là j’me dit mais putain c’est ce que j’ai fait. 
Je sort de nouveau mon passeport, de l’argent et je présente tout ça aux deux responsables. Mais l’une continue de parler toute seule, et l’autre de me faire coucou et de me dire, hello, hello !
– « Heeeuuu, dit moi madame, si tu te fou de ma gueule, c’est pas marrant ! »
Cette fois je m’en vais, c ‘est mon premier échec de communication.

(j’ai su plus tard qu’il fallait en fait montrer une carte d’identite nouvelle generation ! Gouvernement, censure, tout ca… voir article precedent)

Je n’ai donc pas le numéro de mon ami, mais je sais où il travail. Je décide donc de prendre un taxi et de m’y rendre directement. 
Il est à l’hôtel Shangri Là. C’est un hôtel de luxe, ce qui ne m’empêche pas de débarquer là bas comme un pouilleux, avec mes deux sacs à dos au milieu d’homme d’affaire et de riche vacanciers. Une charmante demoiselle appel Benjamin qui vient me rejoindre dans le hall, avant de m’inviter à prendre un café au restaurant de l’hôtel.  

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Puis je me rend à son appartement que je m’apprête à squatter pour plusieurs jours !
J’y pose mes affaires et tris celles que je souhaite envoyer en France. 

Je me rend ensuite à la poste pour envoyer un colis. Tout se passe bien, nous nous comprenons et le colis est partis. Reste à savoir si il arrivera. 

Ensuite je vais dans un petit supermarché. Je n’en avait pas vu depuis mon arrivé en Asie.
Du moins pas d’aussi grand et aussi bien tenu. Et j’y retrouve nottament une chose que j’ai eu dans l’avion:

Des oeufs sous vide:

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Ce sont des oeufs deja cuit avec leur coquille, et il sont pret a etre manger ! Je n’en avais jamais vu.

Bien que le coût de la vie ai l’air à peine plus élevé qu’au Népal, à première vu on ne ressent pas le fait que la Chine est un pays assez pauvre. 
Disons que l’endroit où je me trouve actuellement, montre tout d’une ville vraiment développer, de grand restaurant, de grand centre commercial, un métro tout neuf… 
La ville elle même parait neuf, route intactes, immeubles récents…
Mais lorsque j’ai passer la journée dans le train, en traversant les campagnes, j’ai pu voir les mêmes scènes qu’au Népal. 
Des paysans en train de labourer leurs champs avec un bœuf qui tire une herse. 
Des maisons en brique rouge, dans des villages sans routes, avec certainement peu d’accès à l’eau et l’électricité…

Alors il est encore tôt pour me faire vraiment une idée du niveau de vie du pays, mais c’est difficile de comprendre comment une ville peut paraitre aussi riche, alors que la vie n’y est pas cher. 

Bon on verra bien. Ce n’est pas encore le moment de faire le bilan !

De toute façon dans un pays avec 1350 000 000 habitants, je peux m’attendre à de nombreuses surprises.  

Le soir nous mangeons au Shangri La.

C’est une galette des rois ? Non c’est un hamburger:

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Le plus gros que j’ai jamais vu, et nous l’avons fini a 3 !

Plus tard, avec Ben et deux amis, nous sommes aller au Muse, une discothèque. Au début je ne savais pas du tout à quoi m’attendre, et je pensé que ce serait un endroit calme avec de la musique local. 
Mais quand je suis entrée la dedans j’ai eu un choc !
La même musique qu’en Europe, à fond, et ça me plait car j’adore aller en boite, mais je n’ai toujours pas compris ce que j’ai vécu là bas. 
D’une part, car c’était lundi soir, et que la boite était bondé ! Puis leur façon de faire la fête est énorme. Déjà la boite est très jolie; pour entré dans une boite comme ça en France, il faut être habillé avec un costume à 1000€ ou coucher avec la fille du patron. 
Ici l’entrée est gratuite. 
Puis ils savent s’amuser sans honte. De temps en temps des employés arrivent avec des sacs rempli de ballons et envoie ça dans la boite. Chez nous si tu met des ballons en boite un autre jour que le 31 décembre, tu te fait bruler ton établissement. 

Et comme je vous l’expliquer lorsque j’ai pris le train, il y a des tas d’employés partout. Tout les boulots sont possbile. Dans la discotheque, ils y a des vendeurs qui passent avec des fleurs, classique, mais aussi des cigares, des bonbons et meme un vendeur de glace Hageen Daas ! Moi j’ai halluciné.

Il y a egalement des dames qui passent avec leur balais et qui font le menages sans arret.

Et c’est comme ca partout, dans la rue, dans les supermarché… Tout le monde travail, meme si le boulot en question ne sert quasiment a rien.

Je suis dans une ville de 11 millions d’habitants, et je n’ai vu aucun mendiant, ni SDF (peut etre se cachent-ils)

Donc a premiere vu tout le monde travail, malheureusement cela inclus aussi des veillards. A mon avis ici la retraite tu la prend quand t’es entre 4 planches !

A part ca, ces 5 premiers jours en Chine m’ont vraiment plu. Il y a tout ce qu’il faut. Ca donne envie de venir y vivre, en tout cas a Chengdu, la vie y est belle.

On verra le reste du pays.

Et pour le moment il est encore trop tot pour vous en raconter plus. Il faudra attendre encore un peu. D’ailleurs il faudra peut etre attendre que je sorte de la Chine, car j’ai du heberger mes photos sur un autre site que mon habituel, et j’ai bien galerer. Ca m’a casser les « Gaowan » !

A suivre…


4 commentaires


  1. // Répondre

    行政长官DoIT理由加入découverte étonnante行政长官者自付

    A noter : Reverso n’est pas encore au top pour le chinois hihi !!!


  2. // Répondre

    excellent! bisous francais et a bientot de te lire!

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